Quels vêtements le skipper doit prendre à bord pour s’habiller selon les météos rencontrées durant la course. Pour répondre à cette question, les élèves apprennent à lire les diagrammes ombrothermiques des différentes zones climatiques traversées.
Tâche complexe : Le sac du skipper pour sa course
En utilisant les graphiques ci-dessous, la carte du parcours de course et vos connaissances, vous rédigerez votre réponse sous la forme d’un raisonnement construit de quelques lignes pour chaque zone climatique traversée.
La garde robe de Samantha Davies selon les zones climatiques traversées
Elle se compose d’un système de 3 couches qui remplissent chacune un rôle bien particulier. Selon les conditions climatiques, il est nécessaire de renforcer une des couches, ou bien de s’en séparer.
Couche 1 : Régulation corporelle
Cette première joue un rôle essentiel dans
le confort du marin.
Au contact immédiat de la peau, elle doit
en éviter l’irritation, et permettre à la transpiration de ne pas se transformer
en humidité lors des efforts.
Pour cette raison, certaines matières comme le coton sont à exclure au profit de matières plus techniques.
Couche 2 : Apport de chaleur
Elle est composée de vêtements
en fibres polaire.
L’objectif de cette couche est de retenir la chaleur corporelle en emprisonnant l’air autour du corps.
Elle doit également pouvoir facilement évacuer l’humidité.
Le skipper peut jouer sur l’épaisseur de cette couche en fonction de la température rencontrée.
Couche 3 : Protection extérieure
C’est le bouclier contre les éléments extérieurs : le vent et l’eau.
Son imperméabilité doit être irréprochable sous peine d’annuler le bénéfice des autres couches, tout en laissant le corps respirer pour éviter la condensation.
Elle est conçue de manière à préserver la liberté de mouvement du skipper pendant ses manœuvres.
Elle se compose d’une salopette et selon les conditions d’un simple softshell, d’une vareuse ou de la veste de quart.
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